Islande, terre de feu et de glace



Explorer les grands espaces bruts d’Islande

Si l’on vous dit, pays de contrastes, terre de feu et de glace, on pense à … l’Islande !
Une destination où vous aurez parfois le sentiment d’avoir atterri sur une autre planète.

Découvrir l’Islande, c’est partir un peu à l’aventure, explorer les grands espaces de ses paysages et se tenir prêt à être ébloui par la puissance et la beauté brute de la nature : volcans, glaciers, forêts, cascades, sources chaudes.


Une variété d’expériences pour un dépaysement total 


  • marcher sur la plage de sable noire de Vik

  • vous baigner dans les eaux bleues laiteuses du Blue Lagoon

  • découvrir les sites incontournables du Cercle d’Or

  • randonner dans le parc national de Skaftafell

  • explorer la zone volcanique du volcan Krafla et ses champs de lave

  • observer les baleines de Minke dans la baie de Skjálfandi ou les colonies de macareux au large de Reykjavik



La liste des activités et des lieux à découvrir est longue, très longue…
Ca tombe bien car juin/juillet est la période de l’ensoleillement permanent et des journées sans fin.
L’idéal pour visiter à son rythme les nombreux sites naturels du pays !

Le meilleur moyen de découvrir l’Islande est en voiture, plusieurs propositions d’autotours existent, selon les envies de chacun, n’hésitez pas à nous consulter.

📸 © Sumarid / OT Islande

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Sous le charme du jardin de Balata, en Martinique




Le souvenir de la semaine nous emmène cette fois en Martinique, près de Fort de France, avec notre conseillère voyages Coralie.

Elle est clairement tombée sous le charme de l’île, et de la variété de paysages et d’activités qu’elle offre : la beauté des plages, des randonnées offrant des panoramas superbes, une gastronomie pleine de saveurs.
Mais c’est sa nature luxuriante qu’elle nous raconte aujourd’hui, à travers le jardin de Balata


3 000 espèces de plantes tropicales

Nous avions décidé de venir en matinée découvrir cet incroyable jardin, incontournable en Martinique.
En fait c’est l’œuvre d’un horticulteur paysagiste passionné, tombé amoureux de cette propriété et où il a progressivement créé un jardin abritant plus de 3000 espèces de plantes tropicales.

En arrivant, on découvre le charme de la demeure familiale à l’architecture créole, et juste à côté, des petites fontaines suspendues qui attirent des colibris, un vrai spectacle !

L’Île aux Fleurs, un surnom bien choisi

On a passé 2 heures à se balader dans les allées du jardin en suivant le parcours, et c’est d’ailleurs là que j’ai réalisé à quel point le surnom de la Martinique était juste : l’Île aux Fleurs

J’en prends vraiment plein les yeux : anthuriums, hibiscus, orchidées, nymphéas, … Les couleurs sont éclatantes, elles émergent des nuances de vert de la végétation.

Après une petite montée, nous arrivons sur un point offrant une vue magnifique, qui reste ancrée dans ma mémoire : un lac est en contrebas, encadré de palmiers, la forêt tropicale juste à côté et au loin, on devine la baie de Fort de France, le panorama est juste grandiose !

J’ai aussi adoré emprunter les ponts suspendus aménagés dans les arbres, sur les mahoganys géants. A 15 mètres du sol, le point de vue est superbe, sur la baie et aussi les pitons du Carbet !

📌 Mon conseil spécial Martinique

Pour visiter le jardin de Balata, venez tôt pour le découvrir dans les meilleures conditions, et le site étant un peu isolé, prévoyez votre bouteille d’eau.

Après cette balade, rejoignez la côte pour découvrir la petite ville de Saint-Pierre, sa belle vue sur la montagne Pelée, puis partez vous rafraîchir en vous baignant sur la plage du Carbet.

📸 © Coralie Piairo – Terres Lointaines

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L’Acropole d’Athènes au petit matin…




Aujourd’hui, notre souvenir de voyage nous emmène en Grèce, avec Sylvie, Relation Client.

Plus qu’un souvenir, c’est même devenu un rituel à chaque fois qu’elle retrouve son pays coup de cœur et qu’elle vient à Athènes !
Et c’est aussi un conseil qu’elle vous livre, pour votre prochaine visite …


Mon rituel à chaque passage à Athènes

Je voudrais partager avec vous un « moment rare » que je me réserve à chaque fois que je passe par Athènes. C’est un petit rituel, un plaisir à chaque fois renouvelé et qui me comble de joie.

L’idée est de se lever à l’aube, vers 6H, de quitter la chambre endormie en catimini et de partir dans la ville en direction de l’Acropole.


Marcher dans les rues d’Athènes au petit matin

On traverse Athènes qui se réveille dans le petit matin : entendre les chants des oiseaux, marcher dans les rues nettoyées de frais et pas encore chauffées par le soleil, croiser les habitants qui se pressent à leurs occupations en profitant de la fraîcheur du matin.

Et puis une halte place Syntagma pour prendre mon petit café près de la fontaine, et l’Acropole n’est plus très loin. Les portes ouvrent à 8h00 et je serai la première à entrer et gravir la colline !

Avoir l’Acropole presque pour moi

C’est un moment privilégié, loin de la foule, et je suis toujours submergée d’émotion de revoir ces monuments érigés il y a 2500 ans, qui évoquent la grandeur d’Athènes à son apogée : Temple d’Athéna, Niké, Parthénon, Erechteion, Propylées

Les conditions sont idéales, j’ai le sentiment d’avoir ces lieux presque pour moi, ce qui renforce l’expérience et laisse le champ libre à l’imagination, dans ces ruines antiques où plane encore l’ombre des héros et dieux grecs

Pause gourmande aux Halles d’Athènes

Après cette visite, j’aime traîner un peu au marché aux puces de Monastiraki, puis faire un tour aux Halles d’Athènes, l’adresse idéale pour découvrir la gastronomie grecque. C’est là que j’achèterai quelques baklavas, ces gâteaux aux pistaches gorgés de miel, auxquels je ne pourrai jamais résister…

📸 © Arthur Yeti / unsplash

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Campeche, la ville colorée du Yucatan




C’est au Mexique que nous entraîne le souvenir d’Elodie, service support Terres Lointaines, et plus précisément à Campeche.

Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle est tombée sous le charme de son atmosphère et de ses ruelles colorées…


Sous le charme de l’atmosphère du Yucatan

J’étais partie en road trip pour découvrir le Mexique et plus particulièrement la péninsule du Yucatán, et une fois arrivée j’ai immédiatement été touchée par la beauté des paysages, la richesse culturelle et le sourire des locaux !

C’est le souvenir le plus marquant pour moi : cette atmosphère pleine de vie et de bonne humeur qu’on ressent grâce à l’accueil chaleureux des habitants et l’ambiance dans les rues, baignées de musiques locales. Sans compter cette architecture et ces façades riches en couleurs, qu’on retrouve dans toute la péninsule.


Coup de coeur pour Campeche

Je devais rejoindre un temple perdu dans la jungle, à Calakmul, mais avant ça, j’avais hâte de découvrir la ville de Campeche, surnommée « la ville colorée », peu connue des touristes.

Sur place, l’atmosphère de la ville a été à la hauteur de mes espérances ! Un assemblage de couleurs éclatantes, bleu, rouge, jaune, vert, orange, qui se fondent parfaitement avec l’architecture des villes coloniales typiques du Mexique.
Les petites ruelles vivantes et colorées donnaient un cachet et un charme particulier à Campeche qui reste sans doute l’un de mes plus beaux souvenirs de ce road trip.

Dans mes voyages, je suis toujours touchée par la beauté et la diversité des cultures rencontrées, on prend alors conscience de la chance de pouvoir découvrir de tels endroits, si uniques…

📷 © Elodie Eugster – Terres Lointaines

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A la découverte des lagunes Miscanti et Miniques au Chili




C’est au nord du Chili que nous emmène notre conseillère voyages Alexandra, qui nous partage son souvenir en découvrant les lagunes Miscanti et Miniques, 2 lacs d’altitude au pied des volcans de la Cordillère des Andes.


Un choc visuel devant la beauté des lieux

Ce qui m’a marquée en arrivant sur le site, ce sont ses couleurs, magnifiques, très tranchées :
le bleu pur du ciel, les nuances de bleu du lac, la végétation rare, les couleurs minérales des montagnes et les traces de neige sur les sommets.


La sensation étrange d’être un peu ivre, avec l’altitude

Juste après le choc visuel devant la beauté des lieux, mon souvenir est vraiment associé aux sensations physiques ressenties.

Je sors du bus qui nous avait emmené jusque-là, devant un petit sentier. Et là la tête me tourne, je ressens le manque d’oxygène dû à l’altitude, je me dis que je ne sais pas comment je vais arriver à parcourir ce petit chemin !

C’est la première fois de ma vie que je monte aussi haut, à 4100 mètres, et clairement mon corps n’est pas prêt, j’ai la sensation étrange d’être un peu ivre, je dois me concentrer sur chacun de mes pas pour avancer et tenir mon équilibre.
Le lendemain, en passant à 4600m, mon organisme s’était entre-temps acclimaté à l’altitude.

Pour l’anecdote, j’ai d’ailleurs découvert que certains voyageurs avaient, eux, pris des bonbons à la coca, méthode locale bien connue au Chili pour lutter contre le mal des montagnes.


Un souvenir assez étonnant dans un lieu qui se prête à la contemplation …

📸 © Alexandra Koehrer

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