5 raisons de voyager en Ouzbékistan !




Et si un voyage vous faisait remonter le temps et vous immerger dans un conte des mille et une nuits ?

C’est la promesse de l’Ouzbékistan, ce pays d’Asie centrale situé sur la mythique Route de la Soie. Destination exceptionnelle encore peu connue, découvrez nos 5 raisons de voyager en Ouzbékistan !


📌 Un patrimoine d’une immense richesse culturelle

L’Ouzbékistan a connu des dominations successives à travers l’histoire, avec les empires turcs, perses, grecs, arabes, mongols et russes. Ancienne république soviétique, le pays obtient son indépendance en 1991, mais reste nourri de toutes ses influences passées.

L’histoire de la ville même de Samarcande remonte à 2 750 ans, faisant d’elle l’une des plus anciennes villes du monde au même titre que Rome ou Athènes. Samarcande est d’ailleurs classée au patrimoine mondial de l’UNESCO sous le titre de « carrefour des cultures »

📌 Un pays au cœur de la route de la soie

La route de la Soie, cette ancienne route commerciale, a relié durant des siècles la Chine à l’Europe, traversant les terres et les villes impériales d’Ouzbékistan.

Il faut imaginer ces longs convois de caravanes, formées de 100 à 1000 chameaux et les précieux produits qui étaient alors transportés : marchandises de luxe, or, tissus de laine et de lin, peaux et fourrures, épices et thés, et bien sûr, la fameuse et précieuse soie provenant de Chine.

📌 3 cités mythiques à découvrir : Samarcande, Khiva et Boukhara

Très bien conservées, ces 3 villes concentrent un patrimoine inestimable riche de monuments somptueux à l’architecture orientale : pureté des lignes, coupoles bleues éclatantes, mosaïques qui ornent les monuments comme des parures.

Préparez vous à faire le plein de beauté devant ces splendeurs de l’art islamique : la grandiose place Réghistan à Samarcande avec ses 3 medersas et la mosquée de Bibi Khanoum, le minaret Kalyan de Boukhara, la citadelle de Khiva. Et tellement d’autres richesses à découvrir !

📌 Une hospitalité légendaire

Au delà de la beauté du pays et de ses monuments, l’hospitalité est l’un des points qui marque le plus les voyageurs : les Ouzbeks se montrent spontanément ouverts et chaleureux, généreux et très accueillants.
Vous ferez certainement l’expérience de jolis moments d’échanges au fil de votre itinéraire …

📌 Un pays encore peu fréquenté

En dehors de la haute saison, le tourisme est encore mesuré en Ouzbékistan, peu d’étrangers visitent le pays.
Des conditions idéales pour les voyageurs qui peuvent ainsi découvrir ce pays authentique et encore préservé.

On vous l’assure, le dépaysement et l’éblouissement sont garantis lors d’un voyage en Ouzbékistan.

Alexandre le Grand n’avait t’il pas déclaré « Tout ce que j’ai entendu dire de la beauté de Samarcande est pure vérité – mais elle s’avère encore plus splendide que ce que je pouvais imaginer« .

Alors, on vous emmène ?

📸 © Axp Photography / unsplash

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Des Caraïbes au Pacifique, Pura Vida au Costa Rica !




Destination le Costa Rica avec notre conseillère voyage Solène, qui partage avec nous les meilleurs souvenirs de son voyage dans ce petit pays d’Amérique centrale. Au programme, immersion dans les beautés de la nature costaricienne !



De Tortuguero aux volcans Arenal et Tenorio

 » J’avais l’image d’une destination très nature, c’est ce qui m’a motivé à faire ce voyage car c’est vraiment le type de destinations qui me touche, auquel je suis le plus sensible. De tous les voyages que j’ai pu faire, le Costa Rica est d’ailleurs ma destination coup de cœur …

C’était en janvier, la meilleure saison pour voyager au Costa Rica étant l’hiver, jusqu’en mars-avril. Après avoir atterri à San José, nous avons sillonné le pays d’est en ouest durant une dizaine de jours, de la mer des Caraïbes à l’Océan Pacifique.

Un voyage qui offre beaucoup de diversité d’une étape à l’autre, on change vraiment d’environnement, au niveau des paysages, de la végétation, et même dans l’atmosphère des villages et la façon de vivre.

De Tortuguero côté Caraïbes, où nous étions en plein milieu de la jungle, avec une nature très dense et plein d’animaux, nous avons ensuite rejoint la région des volcans Arenal et Tenorio dans le centre du pays. C’est impressionnant de voir des volcans aussi grand, 1700 et 1900m, et la végétation qui change encore, car le parc national du volcan Tenorio est au cœur d’une forêt tropicale très humide.

Randonnée jusqu’aux eaux turquoises du Rio Celeste

C’est là que nous nous sommes organisé une balade jusqu’au Rio Celeste. D’autres voyageurs nous avaient recommandé cette étape qui ne faisait pas partie de notre itinéraire initial, et nous sommes ravis de l’avoir ajoutée.

Après nous être acquittés du droit d’entrée sur le site du parc du Volcan Tenorio (ces fonds permettant d’assurer l’entretien des parcs nationaux au Costa Rica), nous avons emprunté un sentier niché dans une végétation très dense. C’est un parcours de 6 km aller-retour, le sentier serpente et le clou de la balade, c’est lorsqu’on arrive au site et qu’on découvre, en contrebas d’une série de marches, une piscine naturelle exceptionnelle dans laquelle se jette une superbe cascade de 30 mètres !

La couleur de l’eau y est incroyable : un bleu turquoise laiteux provoqué par les minéraux provenant directement du volcan. Une légende est d’ailleurs rattachée à ce lieu unique. Elle raconte que quand Dieu termina de peindre le ciel en bleu, il lava ses pinceaux dans le Rio Celeste. Ce qui explique cette couleur bleue laiteuse très particulière …

En poursuivant la balade, on accède à un mirador, un point d’observation qui offre une vue panoramique magnifique sur toute la nature environnante. Par endroit, le long de la rivière, on peut observer des zones d’eaux bouillonnantes et sentir des odeurs de soufre, autant de signes de l’activité volcanique.

Petit paradis sur la péninsule de Nicoya

La suite de notre voyage nous a mené à Tamarindo, une station balnéaire animée sur la côte pacifique, prisée par les Américains. Sympa mais pas exactement ce que j’aime le plus, alors nous avons rejoint le sud de la péninsule de Nicoya, assez préservée, jusqu’à Playa Tambor. Un lieu plein de charme, isolé et authentique, bordé par de belles longues plages sauvages. Un vrai paradis, on avait le sentiment d’être seuls au monde, d’avoir la plage pour nous.

Parmi toutes les activités proposées, nous avions choisi de faire une balade à cheval : nous sommes partis juste à 3 avec un guide qui nous a fait découvrir toute la côte sur plusieurs kilomètres, jusqu’au village de Tambor. C’était super chouette, on a longé la mer, traversé plusieurs plages, on est passé par des villages ou parfois près de petites habitations isolées, très modestes. A chaque fois, on était accueillis par un grand sourire de la part des Costariciens. C’était vraiment une façon sympa de découvrir la région, à un autre rythme.
Une étape un peu exclusive où l’on se sent privilégié d’avoir accès à des sites aussi beaux et préservés, loin des touristes.

La région attire les surfeurs et un certain mode de vie un peu hippy, comme à Santa Teresa ou encore Montezuma, des villages à découvrir pour leur atmosphère cool, très agréable.
On a souvent entendu ces mots, « Pura Vida ! » durant notre voyage, mais c’est là-bas où ce mantra a pris tout son sens ! Tout le monde était sympa, accueillant, très tranquille, un petit côté hippy et sauvage, en pleine nature, on s’y sentait parfaitement bien !

📌 Mon conseil spécial Costa Rica

Lors de vos balades et randonnées, prenez le temps et soyez curieux, n’hésitez pas à vous écarter un peu des sentiers principaux et à pousser un peu plus loin, vous en serez toujours récompensés ! Par exemple dans le célèbre parc Manuel Antonio, la plupart des gens se regroupent et rejoignent la plage principale de Manuel Antonio. Alors qu’il suffit de suivre le sentier un peu plus longtemps pour se mettre un peu à l’écart, et faire d’autres rencontres, comme avec un groupe de singes !

Mon autre conseil serait aussi de prévoir au moins une fois une visite de parc avec un guide. C’est la meilleure façon de découvrir les lieux et de bénéficier de son expertise, il saura repérer la flore et la faune sauvage et vous permettre de faire des observations grâce à son regard aiguisé : des magnifiques oiseaux, des toucans, des papillons, des singes … A faire au moins une fois, sur l’un des parcs nationaux visités ! »

📸 © Solène Defossez

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4 destinations idéales pour un safari photo en Afrique




Connaissez-vous les Big Five ?
Ce nom emblématique désigne les 5 grands animaux d’Afrique : le lion, l’éléphant, le buffle, le léopard et le rhinocéros, ces mammifères que l’on rêve de rencontrer lors d’un safari photo dans les grandes réserves nationales de pays tels que la Tanzanie, la Namibie, l’Afrique du Sud ou encore le Botswana.

Chacun de ces pays a en effet sanctuarisé de vastes parcs pour offrir aux animaux sauvages des espaces préservés. Selon les parcs, on peut observer une grande diversité d’animaux, en plus des Big Five : girafes, zèbres, hippopotames, gnous, crocodiles, guépards, gazelles, hyènes, impalas, … ainsi que de multiples espèces d’oiseaux.
Pour avoir la chance de les observer, certaines réserves animalières sont particulièrement réputées :


📍 Safari en Afrique du Sud

En Afrique du Sud, le parc Kruger est la plus grande réserve animalière du pays, reconnue réserve de biosphère par l’Unesco, elle abrite 137 espèces de mammifères dont les légendaires Big Five.

La réserve Hluhluwe-Imfolozi, créée dès 1895, est la plus ancienne d’Afrique et est connue pour son immense travail de protection des rhinocéros noirs et rhinocéros blancs, faisant d’elle la plus grande réserve de rhinocéros au monde.

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📍 Safari en Tanzanie

En Tanzanie, vous pourrez assister au phénomène naturel de migration de millions d’animaux à travers les plaines du Serengeti : les gnous et zèbres, à la saison sèche, rejoignent le Kenya pour y trouver de la nourriture et de l’eau. Un spectacle particulièrement impressionnant, entre autres lorsque les animaux viennent franchir la rivière Mara, où guettent les crocodiles

Le cratère du volcan Ngorongoro offre lui des conditions optimales pour observer la faune sauvage : la plus grande caldeira du monde, d’un diamètre de 20 km, abrite près de 30 000 animaux, ce site offre ainsi la plus forte concentration d’animaux en Afrique.

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📍 Safari en Namibie

En Namibie, le parc d’Etosha au nord du pays est l’un des principaux sanctuaires de la vie sauvage, entre autres grâce à la présence de nombreux points d’eau, points de rencontre des animaux.
Son nom Etosha, « grand espace blanc », lui vient de son immense lac salé asséché, le pan d’Etosha, si vaste qu’il est visible depuis l’espace. Il se remplit d’eau à la saison des pluies, et devient alors un véritable repère pour la faune, dont les flamands roses, pélicans et grues couronnées qui arrivent par milliers.

Plus au sud, le parc de Twyfelfontein abrite une espèce rare, les éléphants du désert, l’une des seules espèces parvenant à survivre dans les températures extrêmes du Damaraland.

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📍 Safari au Botswana

Au Botswana, les mesures de préservation de la faune et la flore sont particulièrement développées, et le tourisme reste limité pour protéger la nature, les conditions sont donc exceptionnelles car vous serez souvent seuls lors de vos observations des animaux.

Le parc de Chobe, au nord, est l’un des incontournables pour rencontrer le Big Five, et en particulier les éléphants qui y vivent en grand nombre. Le pays abrite la plus grande population de pachydermes au monde avec plus de 100 000 individus !

Au sud, le delta de l’Okavango offre une oasis idéale pour les herbivores, qui attirent eux-mêmes les prédateurs, dans les paysages uniques du delta.

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En fonction de la région et du programme, vous pourrez vivre différentes expériences : le classique safari photo en 4×4 mais aussi la randonnée à pied dans la brousse accompagné de rangers et de pisteurs pour remonter la trace des animaux, le safari à cheval ou encore le safari en bateau.

Alors, prêts à partir à la rencontre des animaux ?

📸 © Serengeti par Jorge Cancela – CC BY 2.0

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Tout savoir sur les aurores boréales en Islande




Avez-vous déjà eu la chance d’observer des aurores boréales ?

Si c’est l’un de vos rêves, programmez-vous un voyage en Islande cet hiver, l’une des destinations les plus proches et les plus accessibles pour vivre cette expérience unique !

La nature vous offre alors l’un de ses plus beaux spectacles : le phénomène lumineux apparaît à la nuit tombée, une onde mouvante, dans des tons vert, pourpre, violet à rosé qui s’empare du ciel, dans l’obscurité de l’hiver islandais.

Depuis la nuit des temps, ces voiles de lumières fascinent et ont été associés à des mythes et légendes. On vous en dit plus sur ce phénomène étonnant, un spectacle vraiment magique à contempler !


C’est quoi, une aurore boréale ?

C’est la rencontre entre les particules du vent solaire et le champ magnétique de la Terre : les particules libèrent alors de l’énergie, créant ces trainées lumineuses qui semblent danser dans le ciel. On les appelle aussi « lumières du nord« .

Où observer les lumières du nord ?

Ce phénomène a lieu dans les régions proches des pôles magnétiques, c’est pourquoi on peut les observer en Amérique du Nord (Groenland, Alaska, Antarctique, nord du Canada) ainsi qu’en Europe du Nord (Islande, Finlande, Suède, Norvège).

En Islande, on peut les observer à travers le pays : au nord de l’Islande bien sûr, mais aussi dans la campagne aux environs de Borgarne ; en vous éloignant un peu des lumières de Reykjavik ; ou encore depuis des sites aussi magiques que la cascade de Skógarfoss, la plage de sable noir de Vik dans le sud, ou la lagune glaciaire de Jökulsárlón au sud est du pays.

Quand voir les aurores boréales ?

La meilleure période est entre septembre et mars, et tout particulièrement aux équinoxes de septembre et de mars.

En plein hiver, les nuits polaires sont longues, jusqu’à 19 heures en décembre : c’est autant de temps d’obscurité permettant les observations ! Au cours de la nuit, l’activité est généralement plus forte quelques heures avant et après minuit.

Quelles sont les meilleures conditions pour les observer ?

Bien sûr c’est un phénomène naturel donc il n’y a pas de garantie d’observation, mais une nuit noire et fraîche avec un ciel dégagé (ou des ouvertures dans la couverture nuageuse), de l’obscurité loin de la pollution lumineuse des villes, sont de bonnes conditions pour assister au spectacle… ainsi que de la patience ! Et plus le ciel sera sombre, plus intenses seront les lumières !

📌 Notre conseil spécial aurores boréales en Islande

Consulter la rubrique Aurora Forecast du site météo islandais www.en.vedur.is pour avoir les prévisions de couverture nuageuse à quelques jours ainsi que les prévisions d’activité du phénomène.



Vous êtes prêts à partir à la poursuite des aurores boréales !
Une expérience qui restera, assurément, parmi vos plus beaux souvenirs de voyage, tous pays confondus !

📸 © Balazs Busznyak / unsplash

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